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Pierre Rosanvallon n’a de cesse de poursuivre au sein du Collège de France ses recherches sur la démocratie. Tant son cours que ses séminaires (et les nombreux invités qui y participent) travaillent  à esquisser une théorie politique cohérente et dynamique de cette forme de gouvernement, de régime, d’idéologie politique et de moment historique des différentes nations.

Notons que les cours ainsi que les interventions dans les séminaires sont accessibles en ligne au formats audio et/ou vidéo. Des perles à ne pas manquer pour tous les esprits soucieux de comprendre de manière solide et approfondie le phénomène de la démocratie.

http://www.college-de-france.fr/site/pierre-rosanvallon/#|m=course|

Voir sur le site de Libération le compte rendu d’ensemble de ce concours sonore, littéraire, graphique et photographique

http://voyages.liberation.fr/portraits-de-villes/carnets-sonores-les-vainqueurs

François Bayrou a fait le choix de voter François Hollande au second tour de l’élection présidentielle, sans donner de consigne de vote à ses électeurs compte tenu de leur diversité.

François Bayrou votera François Hollande

 

Un site très instructif, utile et nécessaire pour ne pas dire indispensable durant la période politique, économique et sociale complexe et chargée dans laquelle nous nous trouvons, non seulement au plan national avec les élections présidentielles et législatives à venir, mais également au plan international avec le déplacement de la crise en Europe, le problème des dettes souveraines, la situation précaire de la Grèce, les prochaines élections américaines, les conflits syriens et le bourbier afghan…

Il faut consulter régulièrement ce site du « Laboratoire de la gouvernance » pour se tenir informer et comprendre un peu plus objectivement et en profondeur les principaux ressorts du pouvoir et de la gouvernance des États.

BIENVENUE AU LABORATOIRE DE LA GOUVERNANCE!  🙂

Nous sommes heureux de pouvoir vous recevoir sur ce nouveau site de l’ONG Le Laboratoire de la Gouvernance.

Vous y trouverez des articles en rapport avec l’actualité politique, une base de données pour étayer ses articles, des jeux politiques, bref beaucoup d’informations afin de mieux comprendre l’activité politique nationale et internationale.

On voudrait nous faire croire que l’élection présidentielle française aurait lieue en un seul tour qu’on ne s’y prendrait pas mieux. Depuis le cycle des primaires socialistes jusqu’à la récente entrée en campagne du président sortant, l’actualité ne cesse d’orchestrer la sortie en campagne (rase) de candidats soi-disant de seconde zone comme s’il s’agissait pour eux d’une sortie de route irréversible.
Certes la présidentielle est l’élection phare en France qui permet le mieux une bipolarisation radicale, puisqu’elle se joue en deux tours, le second ayant pour fonction de décanter les rapports de force multiples exprimés au premier tour et de permettre des comptages, des clivages mais aussi de rassembler. Mais une telle bipolarisation est-elle si inéluctable et souhaitable ?
On en arriverait presqu’à croire que le premier tour de cette élection n’est qu’une simple formalité qu’il faudrait remplir uniquement pour que la démocratie puisse être formellement garantie, mais qu’en réalité les jeux sont déjà faits et que sans cette exigence de garantie de démocratie on pourrait aller directement, comme lors des élections américaines, à un mode sélectif de deux candidats issus de deux partis ultra dominants.
Du coup hormis Hollande et Sarkozy, c’est-à-dire les deux partis mastodontes par leur réseaux, leur nombre d’adhérents, leur capacité d’influence et leur potentiel de financement de campagne, les jeux seraient déjà faits et l’élection quasiment pliée.Ainsi à en écouter plusieurs responsables en fonction au plus hait niveau de l’Etat et de la fonction publique, très probablement pour des raisons d’alternance, ce sera Hollande et une nouvelle gauche, modernisée, en somme post Blairisée ( qui ressemblera au Socialisme comme la politique de Tony Balir a ressemblé au Travaillisme), qui mènera une politique somme toute vraiement « néo » mais pas ultra libérale, dans laquelle la plupart des élites médiatico-politiques, intellectuelles, économiques et politiques se retrouveront… A moins que ce ne soit la continuité dans le pseudo changement sur place Sarkozyste, beaucoup de bruit pour rien. Une affaire de style en fin de compte. Mais le fond l’essentiel dans tout cela, c’est que ce sera l’un ou l’autre. Rien d’autre qu’adaptation et qu’une une réforme dans la légèreté, mais sans la grâce.
C’est ainsi que les sondages récents qui du reste offrent des perspectives à front renversés (Hollande 32% vs Sarko 25% ou alors Sarko en remontée spectaculaire à 27% Hollande en préchute libre à 28%) proposent de placer les courbes de ces deux outsiders à la fois très au dessus de la mêlée et à la fois en décrochage ou au coude à coude! Bref le suspense n’a lieu d’être qu’entre eux deux.
Au delà des objectifs partisans avoués et connus de ces divers instituts (cf. par exemple http://tempsreel.nouvelobs.com/sondage-presidentielle-2012/20120207.OBS0739/infographie-le-comparateur-des-sondages-de-la-presidentielle.html), le plus remarquable est la marginalisation et relativisation des autres candidats qui ne fonctionnent alors plus que comme des adjuvants à l’essentiel de l’élection.
De plus cela met les électeurs dans la situation classique d’un dilemme et d’un vote sanction où – à défaut de choisir le plus avantageux – ils penseront à éviter le pire ou du moins ce qu’ils croient tel. Les uns par principe ne voteront jamais Hollande au nom d’un « au secours la gauche revient », les autres jamais Sarko par « Stop Sarko ».
Et au fait au lieu de se demander contre quoi on va voter et pour qui on ne votera jamais, si on se demandait pour quoi on souhaite positivement voter (pour quoi faire, en vue de quel projet et de quelle perspective de changement ?) et à qui l’on croit positivement le plus et qu’on juge sereinement le mieux placé et le plus à même par ses convictions et son engagement personnels à incarner ces perspectives de changement?
Bref, les sondages en martelant l’hégémonie des deux seuls candidats Hollande et Sarkozy perturbent le fonctionnement de la démocratie élective et représentative. Toute analyse approfondie de ce phénomène ne pourra éviter de conduire à repenser le rôle renforcé d’une authentique démocratie participative qui redonne toute sa place à la diversité d’opinions et à la pluralité des voix. Sans nécessairement que le scrutin présidentiel ait à devenir proportionnel, il doit l’être dans son principe et c’était l’originalité française de permettre une réelle élection à deux tours. Toute tentation de faire ressembler la présidentielle française à l’américaine ne pourra que dévoyer l’esprit même du rôle et de la place des minorités c’est-à-dire du peuple dans sa sous représentativité déplorable.

Hollande gagne

Hollande Wins Runoff to Become Socialist Candidate for French Presidency

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Published: October 16, 2011

PARIS — More than six months before the French presidential election, the main candidates appear to be set, with François Hollande, 57, winning a runoff election on Sunday to become the Socialist Party’s presidential candidate.

Fred Dufour/Agence France-Presse — Getty Images

Francois Hollande delivered a speech following his victory in the French Socialist presidential primary.

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Gonzalo Fuentes/Reuters

Francois Hollande greeted his supporters after winning the French Socialist presidential primary.  Martine Aubry, at right, was the runner-up.

With about 2.2 million of 2.7 million votes counted, Mr. Hollande, a lawyer and career politician, was ahead of the party leader, Martine Aubry, by about 56 percent to 44 percent in their second-round contest.

Ms. Aubry conceded defeat in a televised statement, saying she wanted “to warmly salute the victory of François Hollande” and calling for party unity “around our candidate.”

The incumbent, President Nicolas Sarkozy, has yet to announce his candidacy, concentrating on his duties with the long crisis over the euro, budget deficits and the solidity of French and European banks. He is to attend a vital European Union summit meeting this month and to preside over a summit of the Group of 20 economies early next month in the southern city of Cannes. Even if he plans to seek a second five-year term — and his aides are preparing for him to do so — he may not formally announce until early next year. The first round of the presidential election is scheduled for April 22.

Mr. Sarkozy trails Mr. Hollande in opinion polls, but now that he has a specific opponent, the campaigning, overt or otherwise, will start in earnest. Other candidates are expected to run as well, including Marine Le Pen, the leader of the far-right National Front, and candidates from smaller environmental and centrist parties. But it is thought likely that Mr. Sarkozy and Mr. Hollande will face off in the final round on May 6.

The Socialists are eager for power. Since 1958, they have elected only one president, François Mitterrand, and he left office more than 16 years ago. But with Mr. Sarkozy’s popularity so low, the Socialists can taste victory, and in France the near-royal presidency carries with it many spoils. A loss this time would cause an enormous internal fight.

Mr. Hollande, born in Rouen, the son of a doctor and a social worker, has said the country needs “a normal president,” a backhanded slap at Mr. Sarkozy, who has a driven, relentless personality and who has embroiled the French more in his personal life than many people find comfortable. At 56, he is awaiting the birth of a child with his third wife, the singer Carla Bruni-Sarkozy.

Mr. Hollande is intelligent and witty, educated at France’s most elite schools, but inexperienced in government, as his rivals constantly point out. He was Ms. Aubry’s predecessor as leader of the Socialist Party and was close to Ms. Aubry’s father, Jacques Delors, but he has never been a government minister or run a business. He is a member of Parliament and the president of the regional department of Corrèze, a rural area best known for its connections to former President Jacques Chirac, with whom Mr. Hollande has warm relations.

Mr. Hollande inherited a region steeped in debts, many of them from Chirac-initiated infrastructure projects, and is considered to have managed the budget well. But Corrèze is one of the smallest departments in France and does not really compare with governing a nation that sits on the United Nations Security Council, possesses nuclear weapons and is the only country in the world, besides the United States, to have a nuclear-powered aircraft carrier.

Foreign affairs barely entered the Socialist Party’s primary and its televised debates, and Mr. Hollande is considered something of a work in progress. But foreign policy, which Mr. Sarkozy considers one of his strengths, is a prime prerogative of the French president.

The Socialist contest was always an odd one, because the putative favorite for the nomination — Dominique Strauss-Kahn, the former managing director of the International Monetary Fund — did not run after he was arrested on charges of attempted rape in New York. The charges were dropped, but Mr. Strauss-Kahn retreated from political life.

Ms. Aubry had made a deal with Mr. Strauss-Kahn that she would not run if he did, so in a sense she was an accidental candidate. Mr. Hollande had declared his candidacy from the outset, positioning himself as the main rival to Mr. Strauss-Kahn. A centrist, emollient figure, Mr. Hollande was the natural inheritor of those who supported the center-right Strauss-Kahn, but Ms. Aubry attacked him as “soft” and “vague.”

Mr. Hollande for many years was the partner of Ségolène Royal — his rival for the Socialist candidacy in 2007, which she won — and they have four children together. They separated that year, and Mr. Hollande now lives with a political journalist, Valérie Trierweiler, 46, who is divorced with three children. Ms. Trierweiler is said to not relish the idea of being the partner to a French president. This month the government denied reports that it was investigating her private life.

This primary was a departure for the Socialists, in that voting was open to any French citizen who paid at least one euro ($1.39) and signed a pledge to support “the values of the left and of the republic.”

About 2.7 million people voted on Oct. 9, when Mr. Hollande won 39 percent of the vote to Ms. Aubry’s 31 percent, forcing a runoff. About the same number, 2.7 million, are thought to have voted in Sunday’s second round. By comparison, more than 36.7 million people voted in the first round of the 2007 presidential contest.

Still, the Socialists called the primary a democratic advance, contrasting it to the backroom deals that resulted in Mr. Sarkozy’s becoming the candidate of his party. While the number of voters in this primary may have been relatively modest, many more watched last Wednesday’s televised Socialist debate.

Nicola Clark contributed reporting.

A version of this article appeared in print on October 17, 2011, on page A4 of the New York edition with the headline: Career Politician Wins Socialist Vote to Vie for French Presidency.

Par Thomas Vampouille Mis à jour le 14/10/2011 à 14:52

«Mieux vaut donner de la force à celui qui est arrivé en tête», se justifie Arnaud Montebourg.
«Mieux vaut donner de la force à celui qui est arrivé en tête», se justifie Arnaud Montebourg. Crédits photo : ALEXANDER KLEIN/AFP
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Le député de Saône-et-Loire, arrivé en troisième position lors du premier tour de la primaire, ne donnera toutefois pas de consigne de vote à ses électeurs.

Après bien des atermoiements, le «troisième homme» a fini par choisir. Arnaud Montebourg, qui avait récolté dimanche dernier 17% des suffrages lors du premier tour de la primaire socialiste, a annoncé ce vendredi dans une interview au Monde qu’il voterait pour le député de Corrèze dimanche prochain. S’il se refuse à faire de ce choix «personnel» une consigne de vote, sa prise de position à deux jours du scrutin est un nouveau soutien de poids à la candidature du favori. Désormais, tous les candidats éliminés au premier tour – Manuel Valls, Ségolène Royal et Jean-Michel Baylet – se sont rangés derrière François Hollande.Comment Arnaud Montebourg a-t-il tranché entre ceux qu’il qualifiait encore lundi de «deux faces d’une même pièce» ? Sur le fond, sa position n’a pas changé : «Les propositions des deux candidats (sont) pour moi équivalentes». Pour expliquer son ralliement à François Hollande, il met donc en avant le «vote utile». «Dans ce choix, il y a d’abord l’obligation de faire gagner la gauche en 2012 (…) Mieux vaut éviter la fragmentation, donner de la force à celui qui est arrivé en tête et soutenir le meilleur rassembleur», argumente-t-il.

Le camp Montebourg divisé

Pour autant, Arnaud Montebourg se refuse à donner formellement de consigne de vote à ses électeurs : «Chacun se déterminera au vu des choix exprimés par les candidats». Une position qu’il explique par une volonté de «respecter la liberté de choix des Françaises et des Français». Une manière surtout de se dégager des divisions qui sont apparues ces derniers jours dans son propre camp. «Mes cadres départementaux sont tous pour Aubry, mes cadres nationaux sont plutôt Hollande et ma base est coupée en deux», résumait jeudi le député de Saône-et-Loire.

Depuis lundi, Martine Aubry et François Hollande ne leur ont pas facilité la tâche. Tous deux ont tenté de mettre en valeur leur proximité avec les propositions du «troisième homme», sans toutefois y souscrire sans détour. «Ils ont avancé vers la mise sous contrôle des banques et la lutte contre la concurrence déloyale mondiale. Tous deux ont repris des morceaux de sixième République, même en pièces détachées», se satisfait vendredi Arnaud Montebourg. François Hollande a-t-il finalement emporté le morceau en lui faisant une offre plus concrète ? L’intéressé se défend de tout arrangement avec le favori de la primaire : «Je ne suis candidat à aucune fonction dans la campagne, car j’ai déclaré depuis le début de cette primaire que je serai au service du vainqueur, quel qu’il soit».

Aubry appelle les électeurs à rester libres

Réagissant sur Twitter au traitement médiatique fait à son annonce, le député de Saône-et-Loire s’est dit «surpris qu’on me prête une décision de soutien à l’un ou l’autre des candidats, que je n’ai pas prise». Ce qui n’a pas empêché François Hollande de le remercier pour son «choix qui conforte la démarche de rassemblement» qu’il entend porter. Martine Aubry a de son côté appelé les électeurs à ne répondre «ni aux injonctions ni aux sondages» pour déterminer leur vote au second tour. «Arnaud Montebourg a dit : ‘au premier tour on vote avec ses convictions et au second dans l’efficacité’. Moi je conseille à chacun de voter avec ses convictions au premier comme au second tour», a ajouté la maire de Lille.

D’autres réactions n’ont pas tardé à affluer dans la sphère politique :

Plus d’infos en vidéo sur BFMTV.comLIRE AUSSI :

» INFOGRAPHIE – Ce qui sépare Montebourg des finalistes de la primaire

» Montebourg, le choix impossible

» Primaire PS : le report de voix, grande inconnue du 2e tour

Primaire socialiste PS

 

“La France va se trouver en mai 2012 à un moment décisif de son histoire. Nous n’avons pas le droit à gauche de manquer ce rendez-vous avec les Français qui nous attendent, efficaces et unis, à leur service.
J’ai décidé de prendre mes responsabilités pour aider le plus efficacement possible à la victoire de la gauche.
Chacun des deux candidats a sollicité mon soutien dans un esprit de respect que je tiens à saluer et qui est le signe du rassemblement que nous ferons dimanche soir.
J’ai depuis toujours mis mon action politique au service de l’intérêt général, de la justice sociale et de l’amélioration de la vie quotidienne des hommes et des femmes qui attendent une vie meilleure, pour eux et pour leurs enfants.
C’est animée de cette hauteur de vue que j’apporte aujourd’hui tout mon soutien à François Hollande pour trois raisons :

1/ Il est arrivé en tête du premier tour, et il est légitime d’amplifier cette avance donnée par les électeurs.

2/ Les solutions neuves que je défends seront prises en compte dans le programme du candidat comme l’a dit François Hollande hier soir : la réforme bancaire, que je défends depuis 2008 et sur laquelle aujourd’hui tous les socialistes sont rassemblés ; la lutte contre les licenciements boursiers ; la moralisation politique avec le non-cumul des mandats adopté sans délai ; la mutation écologique de l’économie.

3/ Nous devons donner un élan à notre candidat avec une nette avance qui ne laissera aucune prise à la droite.

C’est pourquoi je lance un appel à toutes celles et ceux qui veulent, dans la justice et l’efficacité, le changement d’un système à bout de souffle où la loi de l’argent décide de tout.
Venez voter massivement dimanche prochain pour donner force et légitimité à notre candidat François Hollande.
Nous avons le devoir de rassembler les forces citoyennes et d’inventer un nouvel avenir dans lequel les valeurs humaines l’emporteront sur le cynisme du système financier.

Je fais confiance à François Hollande pour y parvenir en unissant les Français.

Ségolène Royal

UP18-2011-2012

L ' U n i v e r s i t é  P o p u l a i r e   r e t i e n t
d e  l ' U n i v e r s i t é  t r a d i t i o n n e l l e
l a  q u a l i t é  d e s  i n f o rma t i o n s   t r a n smi s e s ,
l e  p r i n c i p e  d u  c y c l e  q u i  p e r m e t
d ' e n v i s a g e r  u n e  p r o g r e s s i o n  p e r -
s o n n e l l e .
E l l e  g a r d e  d u  c a f é  p h i l o s o p h i q u e  l ' o u v e r t u r e  à  t o u s  l e s
p u b l i c s ,  l ' u s a g e  c r i t i q u e  d e s  s a v o i r s ,
l a  p r a t i q u e  d u  d i a l o g u e  c o m m e
m o y e n  d ' a c c é d e r  a u  c o n t e n u .
L a  g r a t u i t é  e s t  l e  p r i n c i p e  d e  b a s e ;
p a s  d ' â g e  r e q u i s ,  n i  d e  t i t r e s  o u
d e  n i v e a u x  d ema n d é s ,  p a s  d ' i n s c r i p -
t i o n s  n i  d e  c o n t r ô l e  d e s  c o n n a i s s a n -
c e s ,  p a s  d ' e x a m e n s ,  n i  d e  d i p l ô m e s
d é l i v r é s . 
L e  c o u r s  e s t  d i s p e n s é u n e  f o i s  p a r  s ema i n e  s u r  u n e  s é a n c e
d e  d e u x  h e u r e s ;  l a  p r e m i è r e  e s t u n  e x p o s é  a r g u m e n t é ,   l a  s e c o n d e
u n e  d i s c u s s i o n   d e  c e l u i - c i .